Partner content “Intermarché, c’était bel et bien le bon choix”

Sacré marathon pour Anne Buttiens ! Arrivée chez Intermarché à 30 ans, cette cheffe d’entreprise dynamique dirige aujourd’hui les implantations d’Assesse et d’Ohey, complètement remises à neuf sous le nouveau concept. « Je mène une vie rythmée mais j’ai la chance d’avoir un quotidien varié, je touche autant aux aspects humains que financiers ou de terrain », évoque cette jeune maman de deux enfants.

“Aujourd’hui, je peux clairement dire que mon choix de rejoindre Intermarché en 2021 était le bon”. C’est par cet enthousiasme qu’Anne Buttiens, adhérente des Intermarché d’Assesse et d’Ohey, en province de Namur, entame la conversation. Il faut dire que lorsque cette entrepreneuse jette un coup d’œil dans le rétroviseur, elle ne peut qu’être fière du résultat. Diplômée en sciences de gestion, Anne Buttiens opte pour une carrière dans la grande distribution, « tant pour les défis et la variété des métiers », en démarrant chez Delhaize avec une fonction de store manager pour deux implantations situées en région liégeoise. Son arrivée chez Intermarché, elle la doit à… Gondola. “En parcourant au bureau le magazine Gondola, j’ai lu le témoignage d’un adhérent Intermarché. J’avais moi aussi envie de gérer mon propre magasin et la philosophie d’Intermarché, qui propose notamment à chaque adhérent de participer via le tiers-temps, à la cogestion ou la codirection de l’enseigne, m’a séduite. L’entraide et le partage entre collègues et dirigeants indépendants de supermarché est en effet un point fort de l’enseigne.” 

“En quatre ans, j’ai eu deux magasins et deux enfants” 

Et voilà que le chrono du marathon Intermarché est lancé ! Après une formation de six mois démarrée en septembre 2020, Anne Buttiens démarre officiellement l’aventure des Mousquetaires en 2021. “C’était l’année de mes 30 ans, j’ai donné naissance à ma première fille et j’ai repris le magasin d’Assesse, qui existait depuis 1997.” Fin 2023, elle entame un second défi avec la reprise d’un Intermarché Contact (760 mètres carrés au total) à Ohey, soit à 10 minutes en voiture de son domicile et à peine plus loin que le premier point de vente d’Assesse. Et la course d’Anne Buttiens ne s’arrête pas là. Elle rénove complètement le magasin d’Ohey sous le nouveau concept en 2024 pour enchaîner en août de la même année avec la rénovation du magasin d’Assesse. En ce mois d’avril, nous la retrouvons deux semaines après l’ouverture d’un magasin flambant neuf :  1979 mètres carrés, soit le double de la surface précédente ! “Mes amis rigolent en disant que j’ouvre un supermarché par enfant. En quatre ans, j’ai en effet eu deux supermarchés et deux enfants”, plaisante Anne Buttiens.  

“Intermarché se distingue par son service”

Juste avant de nous recevoir, Anne Buttiens parlait à l’entrée de son magasin d’Assesse avec les entrepreneurs, qui poursuivent la construction du futur nouveau parking d’Intermarché. Après la clôture des travaux, en août 2025, la cheffe d’entreprise va à coup sûr lever le pied de l’accélérateur. “Place à la stabilisation”, nous dit-elle. “Je suis très heureuse d’accueillir les clients en cette année 2025 avec deux magasins complètements remis à neuf. Dans le nouvel Intermarché d’Assesse par exemple, 50% de la surface est dédiée au frais et nous avons intégré quelques éléments qui font le succès de l’enseigne : un bar à soupe, des plats traiteurs préparés sur place, une machine à granita, une machine de dégustation de vin (la première du genre dans un Intermarché) et un accent sur les produits locaux, de ferme et de saison. “Le bœuf provient d’ailleurs de l’Elevage ‘Beaufontaine’, connu dans la région.” Quant au futur parking, il proposera de nombreux services, dont des bornes de recharges super rapides, des distributeurs de plats préparés, un point relais et même un salon lavoir. Reste à apprivoiser toute ces nouvelles installations. “Avec une quarantaine d’employés à Assesse et une quinzaine à Ohey, certains membres de l’équipe, dont certains travaillent depuis plus de vingt ans au magasin, doivent presque réapprendre un nouveau métier”, estime Anne Buttiens. “Mon souhait est que les clients se sentent bien, c’est la raison pour laquelle j’ai proposé à mon équipe de suivre des formations pour accueillir au mieux le client.”

“Le tiers-temps, c’est une manière de bien s’entendre entre adhérents”

Car au final, ne dit-on pas que l’épanouissement d’un adhérent rayonne forcément sur toute l’équipe ? “Absolument”, acquiesce Anne Buttiens. “Pour aller plus loin, je pense que l’esprit d’équipe insufflé au siège se ressent dans les magasins Intermarché en général. Chaque adhérent passe en effet un tiers de son temps si possible dans une fonction de cogestion ou de codirection de l’enseigne. Cette présence à la centrale forme à mes yeux une garantie que toutes les décisions seront prises par et pour les premiers concernés, à savoir les exploitants indépendants. Une de mes craintes, en me lançant à mon compte, était celle de subir la solitude du manager. Et c’est tout le contraire : je n’ai jamais eu un instant le sentiment d’être seule, livrée à moi-même. En tant que cheffe d’entreprise, j’ai vraiment l’impression d’interagir avec mes collègues.”

“Un adhérent doit avoir une vue en hélicoptère”

Passée de future adhérente en 2020 à cheffe d’entreprise à la tête de deux magasins, Anne Buttiens présente désormais un vrai parcours inspirant pour de futurs adhérents. “Si j’avais un conseil, ce serait vraiment d’avoir une vision en hélicoptère, c’est-à-dire qu’il faut pouvoir avoir une vue d’ensemble, en gardant à la fois un œil sur la gestion des équipes, la partie commerciale, financière et bien entendu le terrain. L’avantage, c’est qu’on ne s’embête jamais, pas un seul jour ne ressemble à l’autre, il faut juste être passionné !” Avec le recul, le choix d’Intermarché était donc le choix gagnant ? “Oui, je pense que c’était le meilleur choix. Intermarché est l’enseigne alimentaire qui progresse le plus en Belgique. Toutes les enseignes ont de beaux magasins et de belles promos mais Intermarché se différencie sur le service. Je parle de détails, auxquels le client ne s’attend pas forcément en rentrant dans le magasin, mais qui font la différence.”