AFSCA - FAVV
-
A la une : Self-scan, malédiction ou bénédiction ?
-
Photo-reportage : Le meilleur du Sial
-
Dossiers : Plats fromagers, desserts lactés, plats préparés, rayon ethnique, aides culinaires, baby food & care, papier-toilette
AFSCA - FAVV
A l’aube du Black Friday, l’Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (AFSCA) met les consommateurs belges en garde contre les compléments alimentaires achetés en ligne. Selon ses récentes analyses, 1 complément alimentaire sur 2 acheté en ligne serait non conforme.
Avec les températures qui chutent, beaucoup de consommateurs pensent que leur système immunitaire est fragilisé et se tournent alors vers les compléments alimentaires, histoire de lui donner un coup de pouce. Pour l’AFSCA, l’heure est à la vigilance. “Dès le moment où vous naviguez sur le web en tant que consommateur, il est important d'être sur vos gardes”, peut-on lire sur son communiqué. L’AFSCA a une cellule spécialisée qui examine les différents sites et boutiques en ligne, elle en a contrôlé 262 dont 86 dans le secteur des compléments alimentaires. L’AFSCA travaille aussi en collaboration avec la Douane en effectuant des contrôles sur l’importation de colis postaux, notamment des compléments alimentaires achetés en ligne. Une récente analyse de composition a démontré que sur 58 analyses, 32 étaient non conformes, soit 1 complément alimentaire sur 2. En 2022, 14 % des petits envois de compléments alimentaires contrôlés étaient non conformes. Les substances médicamenteuses les plus fréquemment trouvées sont le sildénafil et la sibutramine. Pourtant, la loi est claire à ce sujet, explique l’AFSCA, puisqu’aucune substance médicamenteuse ne peut faire partie de la composition d’un complément alimentaire.
Afin de remédier à cette désinformation autour des compléments alimentaires, l’AFSCA a prescrit 7 conseils pour les consommateurs en Belgique. Vérifier si le produit est connu ou pas en Belgique, se méfier des descriptions trop belles pour être vraies ou encore des faux avis, demander conseil à son médecin ou son pharmacien, consulter la liste des ingrédients, rechercher plus d’informations sur l’entreprise et enfin se méfier si le vendeur ne communique que par des canaux privés.
A la une : Self-scan, malédiction ou bénédiction ?
Photo-reportage : Le meilleur du Sial
Dossiers : Plats fromagers, desserts lactés, plats préparés, rayon ethnique, aides culinaires, baby food & care, papier-toilette
Vous voulez tout savoir sur l'actualité du secteur (Magazine), nos événements (Society) ou nos formations (Academy)?
Abonnez-vous à nos newsletters: