Le choc. On attendait depuis longtemps, trop longtemps, la nature des mesures risquant de toucher la filiale belge de Carrefour, dans la foulée de la purge effectuée au siège français. On pensait que ce risque concernait essentiellement le périmètre de la centrale, ce qui ne rassurait pas forcéments les cadres potentiellement concernés, soumis depuis mardi à un insupportable suspense.