Publi-reportage Quand les supermarchés font livrer les courses via des particuliers

Shopopop permet aux commerçants de faire livrer leurs colis par des particuliers. " Pratique, efficace et abordable, notre solution a également été développée dans une optique humaine et durable ", évoque Antoine Cheul, cofondateur de Shopopop.

Certains magasins génèrent 15.% de leur chiffre d’affaires grâce à l’e-commerce. Si le secteur de la livraison est certes en croissance, il reste de nombreux freins à son développement : coût, moyens humains et matériels dont il faut disposer, gestion des rushes ou encore problématique du dernier kilomètre. C’est de cette constatation qu’est né le crowdshipping, avec Shopopop, une solution qui offre aux particuliers l’opportunité de livrer des colis lors de leurs déplacements. " Lors d’un trajet entre son travail et son domicile, un particulier peut par exemple choisir de prendre en charge une livraison, via l’application Shopopop, pour la déposer auprès du client qui a fait la commande ", évoque Antoine Cheul, fondateur de Shopopop. " Notre solution est simple d’utilisation. Premièrement, le consommateur passe commande sur le site internet du commerçant partenaire ou en magasin et demande une livraison à domicile. Le commerçant prépare ensuite la commande. Enfin, le cotransporteur récupère la commande en magasin et la livre à l'adresse indiquée. " Lancée en 2015 en France et active également en Espagne et en Italie, la solution Shopopop a déjà généré plus de 8 millions de livraisons, notamment via des grandes enseignes comme Leclerc, Auchan, Intermarché, Spar, Decathlon et de nombreux fleuristes. Lancé en 2020 en Belgique, Shopopop est déjà utilisé par Colruyt, Carrefour, Cora et quelques franchisés Delhaize.

Cinq fois plus écologique qu'une livraison classique

Shopopop, c’est une solution de livraison plus humaine et plus verte. " Notre solution est agile et peut parfaitement gérer les pics, dans le cas où un grand nombre d’utilisateurs souhaitent être livrés en même temps ", poursuit Antoine Cheul. " Notre solution n’a pas seulement été pensée pour son côté pratique, mais également pour son aspect écologique. " Cet aspect est d’autant plus important aujourd’hui que les entreprises de plus de 500 collaborateurs devront rendre compte de nouveaux objectifs carbone à partir de 2025, selon les exigences de l’Union Européenne. " L’impact carbone d’une livraison Shopopop est en effet bien meilleur qu’une livraison classique, puisqu’on ne produit pas de nouveau véhicule pour la livraison (20.% en moyenne des véhicules en circulation sont des véhicules de livraison) et les particuliers qui livrent font juste un détour, la moyenne étant de 2,3 kilomètres de détour par trajet. Une livraison Shopopop génère approximativement cinq fois moins de dégagement carbone qu’une livraison classique, soit en moyenne 490 g de CO2. Enfin, la solution règle la problématique du ‘last mile’, qui représenterait, selon une étude réalisée par McKinsey, pas moins de 53.% des coûts totaux de livraison. "

Une dimension humaine

Du point de vue humain, une livraison prise en charge par Shopopop favorise l’interaction humaine. Un particulier qui livre à un autre particulier aura plutôt tendance à engager une brève conversation, étant en effet moins pressé. Les frais de livraison à domicile élevés représentent un défi considérable. Et là aussi, Shopopop présente un atout très compétitif. " Nous savons par expérience que notre système est extrêmement efficace et qu'il peut dès lors être moins cher que des services de livraison assurés en interne, " évoque Antoine Cheul. Shopopop propose par ailleurs une rémunération avantageuse pour un livreur, via un système de taxation préférentiel pour les particuliers, dont l’activité de livraison reste secondaire. ".Tous ces paramètres expliquent pourquoi nous avons de grandes ambitions en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg pour l’année 2024, avec un objectif de doubler le nombre de livraisons.", annonce Sacha Buyck, country manager Benelux pour Shopopop. " Notre solution fonctionne en effet très bien en France et la Belgique est désormais mature pour emboiter le pas. Si les magasins resteront clairement le premier vecteur de vente, il est nécessaire que chaque magasin offre une solution de livraison complète et efficace. "