Colruyt inaugurait aujourd’hui Fine Food Meat 2, les nouvelles installations de son entreprise de traitement de la viande Colruyt Group Fine Food Meat, en présence du Premier Ministre Charles Michel. A terme, Colruyt Group Fine Food Meat deviendra le plus grand producteur de viande et de charcuterie du pays.

Le groupe Colruyt a inauguré un nouveau bâtiment sur le site de Fine Food Meat, son entreprise de traitement de la viande. Il sera dédié à la découpe et au conditionnement de la charcuterie, des plats traiteurs et des plats végétariens. Avec leurs 18 000 m², les nouvelles installations permettront à Fine Food Meat de ramener dans le giron de l’entreprise des activités jusqu’alors externalisées en raison de la croissance du groupe et du manque d’espace. Fine Food Meat 2 devrait générer d’ici 2025 la création de 150 emplois supplémentaires.

 

Le plus grand producteur de viande et charcuterie

Une fois que le nouveau site tournera à pleine capacité, Fine Food Meat sera le plus grand producteur de viande et de charcuterie du pays. Un statut qui l’incite plus que jamais à prendre ses responsabilités et à poursuivre ses efforts dans la durabilisation des filières viandes. «D’une part, parce que la durabilité est inscrite dans les gènes de Colruyt Group ; et d’autre part, parce que les exigences de nos clients évoluent vers une alimentation toujours plus saine et durable », explique Stefan Goethaert, directeur de Colruyt Group Fine Food. « En tant que distributeur, nous nous trouvons à un carrefour important, entre le consommateur final et le fournisseur. Notre devoir est de faire en sorte que la demande de l’un soit comblée par l’offre de l’autre. Des initiatives ont déjà été entreprises et il s’agit de poursuivre sur cette voie, ensemble avec nos fournisseurs. »

 

Alternatives protéiques

Fine Food Meat 2 a été pensé de façon à pouvoir répondre aux défis de demain, comme l’évolution des habitudes des consommation et l’avènement des nouvelles sources de protéines. Ses lignes de production peuvent désormais également accueillir des spécialités à base de substituts végétaux et autres approches novatrices. « Outre les produits végétariens, les alternatives protéiques suscitent un intérêt certain dans un schéma alimentaire toujours plus flexible. Nous décelons dans ce domaine de réelles opportunités », poursuit Stefan Goethaert. Et de lancer un appel à l’innovation vers les parties prenantes et le secteur agroalimentaire en particulier : « Nous sommes ouverts à tout partenariat visant à développer ces nouvelles sources protéiques, que ce soit via des filières existantes ou de nouveaux projets de collaboration. Cela demande une vision soutenue, de l’envie mais aussi de l’audace, afin de créer de la valeur économique, certes, mais également une valeur ajoutée sociétale. »