Ironie du destin: c’est au moment où Carrefour Belgium montre de premiers signes encourageants que le groupe auquel il appartient éprouve des difficultés. Quand le travail de Gérard Lavinay est unanimement salué en Belgique, la gestion de Lars Olofsson suscite l’impatience ou la critique. Voici deux ans la presse belge faisait ses gros titres sur une restructuration locale qui semblait indispensable pour reconstruire. C’est aujourd’hui en France que le doute s’installe. Une preuve parmi d’autres: cet article de l’hebdomadaire L’Express. Dont le titre paraît malgré tout un brin dramatique.

Carrefour, la dernière chance