La catégorie des yaourts n’a pas été à la fête en 2021, notamment en raison d’un effet boomerang due à l’excellente année 2020. Signalons toutefois quelques tendances en croissance, dont le skyr, le yaourt grec et les formats protéinés. La santé et l’indulgence restent les deux tendances clés du marché.

C’est un peu le retour de bâton pour la catégorie de l’ultra-frais. Suite à une année 2020 ponctuée de fortes ventes, la catégorie de l’ultra-frais connaît désormais une baisse de régime. Nous parlons ici seulement des yaourts et dérivés à boire, sans prendre en compte le segment des desserts lactés (crèmes dessert, mousses, riz au lait, etc) ou des cafés glacés, auxquels nous consacrons chaque année un article à part entière. Le segment des yaourts a en effet connu une baisse de 4,45% en valeur, surtout due à une baisse des volumes (- 4,52%) et à une stagnation du prix (données NielsenIQ sur base annuelle, arrêtés au 27 mars dernier).