Le groupe français met à l'étude un découpage en trois entités distinctes, susceptible de favoriser sa valorisation. L'immobilier (déjà cédé en Belgique, mais toujours détenu ailleurs) et l'enseigne discount Dia seraient retirés et auraient leur propre cotation en bourse à Paris. Certains actionnaires sont déçus du rendement de leur investissement. L'action valait 53 euros en mars 2007, elle n'en vaut plus aujourd'hui que 35 euros.