Colruyt Group poursuit ses efforts en vue d'améliorer les conditions de travail chez ses fournisseurs non-européens. En 2013, le groupe a fait auditer 62 fabricants non-food asiatiques, pour un investissement de près de 42 000 euros. Chez 15 de ces fournisseurs, un terme a été mis à la collaboration pour résultats insuffisants ou refus d'audit. Le groupe a également accepté 223 audits menés par des organisations tierces et validés comme conformes, portant le nombre d'unités de production contrôlées à 285.

62 audits internes62 contrôles ont été effectués. Pour 32 nouveaux fournisseurs, il s'agissait d'un premier audit, tandis que pour 15 autres, il était question d'un suivi d'audit au cours duquel il est examiné si le plan d'amélioration est bien mis en application. Enfin, 15 fabricants ayant obtenu un audit favorable il y a 3 ans ont à nouveau été audités, comme le veut la procédure. Pour réaliser ces contrôles, Colruyt Group mandate des sociétés d'audits spécialisées.

Infractions les plus fréquentes: heures supplémentaires et trop faible rémunérationAu fil des audits, Colruyt Group a pu constater les progrès réalisés au niveau des conditions de travail. Dans la plupart des cas, le management est disposé à apporter les améliorations demandées. Un plan d'amélioration a été soumis à 23 autres fournisseurs, lesquels seront à nouveau contrôlés en 2014. Colruyt Group a par ailleurs mis un terme à la collaboration avec 15 fabricants pour refus d'audit ou résultats insuffisants. Les infractions les plus fréquentes restent un nombre trop important d'heures supplémentaires et parfois leur trop faible rémunération. Les règles élémentaires de sécurité font également partie des non-conformités les plus observées.

En 2013, 223 audits externes et validés comme conformes, ont ainsi étés acceptés, portant le nombre d'unités de production contrôlées à 285.